La terreur, l’arme des lâches et des fanatiques, nous assaille de plus en plus souvent. On apprend à vivre avec ou l’on se replie sur soi, on abandonne nos libertés pour une illusions de sécurité ou l’on combat l’ennemi pour défendre nos libertés, la Liberté.

Face au terrorisme, nos armes sont nos actes libre, notre libre arbitre, l’éducation, la culture et aussi, ne nous voilons pas la face, les armes de guerre.

Malgré la difficulté de la tâche, il faut que nos armées ciblent les terroristes et leurs armées tout en préservant les civils. C’est une évidence, facile à dire, qui ne doit pas nous faire ignorer une réalité complexe. En effet, l’une des causes de nombreuses actions désastreuses par les états “démocratiques” est la simplification volontaire, le refus d’embrasser la complexité des situations de chaque pays, chaque conflit. Le documentaire de la BBC “Hypernormalisation” montre bien, par exemple, pourquoi les Etats-unis on choisit d’instrumentaliser la Lybie, de la choisir comme ennemi pour éviter de se confronter au complexité de la Syrie d’Hafez al-Assad.

Partout dans le monde, les services de sécurité, d’espionnage et d’anti-terrorisme s’efforcent de préserver la sécurité de leurs populations. Dans le même temps, combien d’interventions par ces mêmes pays pour soutenir, armer, financer l’une ou l’autre des parties ?

L’histoire nous montre que modifier les paramètres d’une situation géopolitique que l’on ne maîtrise pas est au mieux hasardeux.

Comment pousser nos gouvernements a redéfinir au plus vite leur approche de la géopolitique ?